Et comment résister au plaisir d’écouter la fin (et l’accent un peu particulier de Sting ?
Il nous reprend en style super-nostalgique le quatrième couplet (où l’humour le cède à la douleur), en solo acap, repris ensuite par le virtuose guitariste-luthiste (Edin Karamazov) qui a gravé cet album avec lui.
Superbe, non ?
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Come again – en solo puis luthcette idée de reprendre le simili canon vocal au luth en solo et évanescent - ça change toute l'atmosphère de la chanson, une pointe d'émotion
- et pour ceux que ça intéresse, la référence (pub non payée):
- La pochette – John Dowland – par Sting
- Songs from the labyrinth - Deutsche